Congratulations to Kamari Maxine Clarke on being elected as a Fellow of the Royal Society of Canada (RSC). This recognition is the highest honour in the Arts, Social Sciences, Humanities and Sciences in the country. Clarke is a Distinguished Professor at the University of Toronto. For more than twenty years, she has conducted research on issues related to legal institutions, human rights and international law, religious nationalism and the politics of race and globalization. She has spent her career exploring theoretical questions concerning culture and power and detailing the relationship between new social formations and contemporary problems. A prominent Africanist known internationally for pioneering research into the globalization and transnationalism of the Black Atlantic world, and the anthropology of justice, Clarke has authored/coedited nine books, including the groundbreaking “Fictions of Justice” (Cambridge, 2009) and “Affective Justice” (Duke, 2019), which clarify complexities between African stakeholders and the International Criminal Court.
Les Prix du gouverneur général pour l’innovation récompensent la contribution exceptionnelle et novatrice d’un organisme ou de personnes à la qualité de vie au Canada. L’un d’eux a été décerné au Groupe de travail sur les sépultures non marquées de l’Association canadienne d’archéologie. Sous la présidence de Kisha Supernant, professeure au Département d’anthropologie de l’Université de l’Alberta, cette équipe d’experts défend les intérêts des familles autochtones survivantes auprès du gouvernement, sensibilise les médias à sa mission et conçoit des ressources pour former les Autochtones aux fouilles archéologiques, incluant l’utilisation de radars à pénétration de sol et des guides techniques détaillés sous forme vidéo ou écrite. Composé de 15 chercheurs et chercheuses d’établissements d’enseignement supérieur et de communautés autochtones, ce groupe mène un projet visant à faciliter la recherche de sépultures anonymes d’enfants autochtones. Au moins 4126 enfants autochtones sont décédés ou ont disparu dans des pensionnats.